Selon les chiffres de la Fevad, disponibles sur leur site Web (qui est par ailleurs une mine d’information) et selon l’excellent supplément des Echos daté du 17 octobre dédié à la Vente à Distance, le e-commerce français est en pleine forme.
Ainsi, au premier semestre 2006 les ventes en ligne ont atteint 5.5 Mds €, en hausse de 43% par rapport à S1 2005 ! Claire Gatinois rappelle judicieusement, dans Les Echos, que ce montant est équivalent à dépenses réalisées sur Internet sur toute l’année 2004. Les acteurs du e-commerce expliquent cette explosion par la généralisation du haut-débit. Il est vrai que les pages de sites de e-commerce sont lourdes et qu’il faut en voir un certain nombre avant de finaliser son achat.
Cette belle progression devrait donc se maintenir au deuxième semestre puisque la Fevad prévoit que pour toute l’année 2006, se seront 12.5 Mds€ qui seront dépensés en ligne.
Autre information importante, la dépense moyenne en ligne, pour un cybermarché, est de 170€, alors qu’elle « plafonne entre 50 et 70€ dans un hypermarché ». Ceci confirme les chiffres que j’ai donnés sur le site Web du vendeur de chaussures Desmazieres. Alors que dans ses magasins, le panier moyen est de 25€, il est de 50€ sur leur site Web. La Fevad confirme cette tendance puisque selon ses enquêtes, 64% des cyberacheteurs dépensent plus sur Internet qu’en magasin.
Les sites de e-commerce, ainsi que leurs investisseurs (et oui, il ne faut quand même pas les oublier), ont donc de beaux jours devant eux.
Monday, October 23, 2006
Thursday, October 19, 2006
Yahoo! mis à mal par les sites communautaires
Comme je le soulignais dans mon commentaire du post de Michel de Guilhermier intitulé Number Crunching Season !, les résultats trimestriels de Yahoo!, annoncés le mercredi 18 octobre ont été décevants. Le titre qui a baissé de 39% depuis le 1er janvier 2006 a donc continué sa chute.
Ce qui est marquant dans cette annonce, ce ne sont pas tant les mauvais résultats, qui étaient largement anticipés par les analystes et donc déjà inclus dans le cours de l'action, que les raisons évoquées par le management. Ainsi, si les recettes ont été stables entre Q2 et Q3, c'est en grande partie en raison de plusieurs annulations de campagnes publicitaires au profit
Ce qui est marquant dans cette annonce, ce ne sont pas tant les mauvais résultats, qui étaient largement anticipés par les analystes et donc déjà inclus dans le cours de l'action, que les raisons évoquées par le management. Ainsi, si les recettes ont été stables entre Q2 et Q3, c'est en grande partie en raison de plusieurs annulations de campagnes publicitaires au profit
- des bannières dans les boîtes mails, plus économiques, et
- des sites communautaires! Les annonceurs prennent donc conscience de l'importance de ces sites et notamment de la forte qualification de leurs audiences. C'est comme si cette explication du management de Yahoo! légitimait le rachat de YouTube par Google (Cf. mes posts précédents).
Thursday, October 12, 2006
Acquisition de YouTube par Google (encore!)
Après avoir essayé de concurrencer YouTube, Google a finalement décidé de l’acquérir. Cette acquisition résout deux problèmes pour Google :
Elle lui permet de combler son manque de présence dans la vidéo (et le multimédia) qui est aujourd’hui le segment le plus dynamique sur Internet. Depuis son lancement, en décembre 2005, YouTube a largement dépassé Yahoo !, MSN et même Google en terme de visiteurs. Il est d’ailleurs sur le point de rattraper MySpace en terme de visiteurs uniques : 72 M en août 2006 contre 80 M pour MySpace (et seulement 22 M pour MySpace Video).
Afin de bien apprécier ces chiffres, je rappelle qu’en janvier 2006, YouTube avait 10 M de visiteurs uniques tandis que MySpace en avait 4x plus, soit 40 M.
Elle lui permet également de combler sa faible présence dans les réseaux sociaux.
La force de YouTube réside dans son catalogue de vidéos, mais aussi dans son fort côté communautaire. Ce point permet d’avoir une audience qualifiée, ce qui intéresse fortement les annonceurs. D’autant plus que les visiteurs de YouTube restent en moyenne 22 minutes par jour sur le site, soit 3x plus que sur Yahoo ! Music.
Voilà d’autres éléments que je souhaitais partager avec vous. Je pense que j’ai pas mal parlé de cette acquisition sur ce blog, mais peut-être aurons-nous des raisons d’y revenir dans les prochains jours.
Elle lui permet de combler son manque de présence dans la vidéo (et le multimédia) qui est aujourd’hui le segment le plus dynamique sur Internet. Depuis son lancement, en décembre 2005, YouTube a largement dépassé Yahoo !, MSN et même Google en terme de visiteurs. Il est d’ailleurs sur le point de rattraper MySpace en terme de visiteurs uniques : 72 M en août 2006 contre 80 M pour MySpace (et seulement 22 M pour MySpace Video).
Afin de bien apprécier ces chiffres, je rappelle qu’en janvier 2006, YouTube avait 10 M de visiteurs uniques tandis que MySpace en avait 4x plus, soit 40 M.
Elle lui permet également de combler sa faible présence dans les réseaux sociaux.
La force de YouTube réside dans son catalogue de vidéos, mais aussi dans son fort côté communautaire. Ce point permet d’avoir une audience qualifiée, ce qui intéresse fortement les annonceurs. D’autant plus que les visiteurs de YouTube restent en moyenne 22 minutes par jour sur le site, soit 3x plus que sur Yahoo ! Music.
Voilà d’autres éléments que je souhaitais partager avec vous. Je pense que j’ai pas mal parlé de cette acquisition sur ce blog, mais peut-être aurons-nous des raisons d’y revenir dans les prochains jours.
Wednesday, October 11, 2006
Retour sur le rachat de YouTube par Google
A la base de beaucoup de bonnes idées, il y a un problème que les entrepreneurs ont rencontré un jour et alors que la plupart d’entre nous disent « il faudrait faire ceci ou cela », mais sans jamais passer à l’acte, les entrepreneurs, eux, le font !
Ainsi, les deux fondateurs de YouTube confrontés à l’impossibilité d’envoyer une vidéo par mail ont décidé de créer leur site afin de pouvoir s’échanger les vidéos de leurs soirées.
Et voilà comment un simple inconvénient peut déboucher sur la success story la plus incroyable.
Pour revenir sur une problématique souvent évoquée dans les blogs, à savoir les possibles attaques des Majors, il est intéressant de noter que ces dernières ainsi que les chaînes de télévisions ont d’abord voulu interdire la diffusion de leur programme sur YouTube.
Elles ont vite changé d’avis lorsqu’elles ont constaté que certaines de leurs émissions faisaient plus d’audience sur YouTube que lors de leur diffusion sur les chaînes traditinnelles. Elles ont alors vu YouTube comme un nouveau canal de distribution et certaines, comme SONY ou WARNER, ont autorisé YouTube à diffuser leurs contenus en échange d’un partage des revenus publicitaires.
D’ailleurs, les chaînes de télévision ont commencé à lancer leurs propres YouTube, comme TF1 avec WAT.TV.
Enfin, comme le souligne Jean-Louis Missika, consultant sur les médias, dans une interview à Libération, daté du 11 octobre, cette acquisition confirme, une nouvelle fois, la place centrale des moteurs de recherche qui, face à l’explosion du contenu, notamment celui des internautes, sont les seuls à pouvoir organiser et restituer les contenus aux consommateurs.
Ainsi, les deux fondateurs de YouTube confrontés à l’impossibilité d’envoyer une vidéo par mail ont décidé de créer leur site afin de pouvoir s’échanger les vidéos de leurs soirées.
Et voilà comment un simple inconvénient peut déboucher sur la success story la plus incroyable.
Pour revenir sur une problématique souvent évoquée dans les blogs, à savoir les possibles attaques des Majors, il est intéressant de noter que ces dernières ainsi que les chaînes de télévisions ont d’abord voulu interdire la diffusion de leur programme sur YouTube.
Elles ont vite changé d’avis lorsqu’elles ont constaté que certaines de leurs émissions faisaient plus d’audience sur YouTube que lors de leur diffusion sur les chaînes traditinnelles. Elles ont alors vu YouTube comme un nouveau canal de distribution et certaines, comme SONY ou WARNER, ont autorisé YouTube à diffuser leurs contenus en échange d’un partage des revenus publicitaires.
D’ailleurs, les chaînes de télévision ont commencé à lancer leurs propres YouTube, comme TF1 avec WAT.TV.
Enfin, comme le souligne Jean-Louis Missika, consultant sur les médias, dans une interview à Libération, daté du 11 octobre, cette acquisition confirme, une nouvelle fois, la place centrale des moteurs de recherche qui, face à l’explosion du contenu, notamment celui des internautes, sont les seuls à pouvoir organiser et restituer les contenus aux consommateurs.
Tuesday, October 10, 2006
Google et YouTube, quelques données chiffrées
YouTube tablait sur un chiffre d'affaires pour 2006 d'un peu moins $100 M et certains analystes pensent que ce chiffre devrait augmenter de 150% en 2007, soit environ $200 M. Toujours d'après les mêmes analystes, l'EBITDA représenterait 35% du CA soit $35 M pour 2006 et $70 M pour 2007.
Google est actuellement valorisé 20x l'EBITDA. Si on applique donc ce multiple a l'EBITDA de YouTube, la valorisation de ce dernier serait donc proche de $1.4 Mds. La rude compétition livrée par les différents acquéreurs potentiels expliquerait le "premium" de $ 200M.
Si on applique des multiples de visiteurs, YouTube a été payé $23x par visiteur unique, tandis que le multiple EV/Visiteur unique de Google est de $272x ($48x pour Yahoo!).
D'ici à dire que YouTube a été sous-valorisé, il n' y a qu'un pas. ;-)
Google est actuellement valorisé 20x l'EBITDA. Si on applique donc ce multiple a l'EBITDA de YouTube, la valorisation de ce dernier serait donc proche de $1.4 Mds. La rude compétition livrée par les différents acquéreurs potentiels expliquerait le "premium" de $ 200M.
Si on applique des multiples de visiteurs, YouTube a été payé $23x par visiteur unique, tandis que le multiple EV/Visiteur unique de Google est de $272x ($48x pour Yahoo!).
D'ici à dire que YouTube a été sous-valorisé, il n' y a qu'un pas. ;-)
YouTube, Google et Sequoia
Google vient donc d'annoncer le rachat de YouTube pour $1.65 Mds en actions. Le titre a un peu chuté aujourd'hui (- 0,55%), mais rien de dramatique.
Le montant a frappé les esprits, mais peu d'information a été communiqué par Google ou YouTube concernant les détails de l'acquisition.
Ce que l'on sait déjà, c'est que le fonds de capital-risque américain Sequoia, qui avait déjà financé Google à ses débuts, était une fois de plus investisseur de cette nouvelle success story qu'est devenu YouTube. Pour information, Sequioa a investi $11 M il y a un an et il devrait recevoir en échange de leurs actions YouTube des actions Google pour un montant de $480 M! Bravo.
Le montant a frappé les esprits, mais peu d'information a été communiqué par Google ou YouTube concernant les détails de l'acquisition.
Ce que l'on sait déjà, c'est que le fonds de capital-risque américain Sequoia, qui avait déjà financé Google à ses débuts, était une fois de plus investisseur de cette nouvelle success story qu'est devenu YouTube. Pour information, Sequioa a investi $11 M il y a un an et il devrait recevoir en échange de leurs actions YouTube des actions Google pour un montant de $480 M! Bravo.
Ouvrir un nouveau canal de distribution grâce à Internet
Le plus difficile pour les acteurs du commerce traditionnel est tout d'abord de voir émerger des concurrents "pure players", c'est-à-dire des sites de e-commerce sans réseau de distribution physique, et ensuite de réussir à vendre sur Internet de manière efficace et sans pour autant canibaliser leurs réseaux de distribution existants.
J'ai déjà parlé à deux reprises de la vente de chaussures à distance avec Sarenza, pure player Internet.Celui-ci doit faire face à une concurrence qui provient désormais d'autres acteurs traditionnels tels que Bata (http://www.bata.fr) ou encore Desmazieres (http://www.chaussures-desmazieres.fr).
Il est encore tôt pour savoir si le site Bata est un succès, en revanche, Desmazieres semble avoir assez bien réussi sa diversification.
Pour preuve, voici quelques informations concernant leur site site (informations recueillies dans quelques articles et analyses).
Pour info, le Groupe Desmazieres est le 3e distributeur et le premier VADiste français exclusivement dédié à la chaussure. Il vend près de 8 millions de paires chaque année en France.
Ouverture du site début 2005.
Clients ciblés : clients de la VAD et femmes de moins de 40 ans avec enfants.
La stratégie marketing est axée sur le taux de transformation, notamment via 1. l’animation commerciale et le ciblage des offres, 2. de nombreuses offres commerciales permanentes et renouvelées (utilisation répétée d système code avantage qui ouvre droit à une réduction immédiate), et 3. des offres transversales et des thématiques adaptées aux goûts de l’acheteur.
Quelques chiffres :
1 200 références proposées sur le site
CA 2005 : environ 2,5 M€, soit l’équivalent de 4 magasins ! Prévisions CA 2006 : +50%
Panier moyen de 50 € (contre 26 dans les magasins Chauss’Expo)
Depuis février 2006, commandes possibles à partir du Luxembourg et de la Belgique. Ouverture du UK d’ici la fin de l’année. Un développement européen plus large est prévu.
200 000 visiteurs en moyenne par mois
Taux de transformation : 3%
J'ai déjà parlé à deux reprises de la vente de chaussures à distance avec Sarenza, pure player Internet.Celui-ci doit faire face à une concurrence qui provient désormais d'autres acteurs traditionnels tels que Bata (http://www.bata.fr) ou encore Desmazieres (http://www.chaussures-desmazieres.fr).
Il est encore tôt pour savoir si le site Bata est un succès, en revanche, Desmazieres semble avoir assez bien réussi sa diversification.
Pour preuve, voici quelques informations concernant leur site site (informations recueillies dans quelques articles et analyses).
Pour info, le Groupe Desmazieres est le 3e distributeur et le premier VADiste français exclusivement dédié à la chaussure. Il vend près de 8 millions de paires chaque année en France.
Ouverture du site début 2005.
Clients ciblés : clients de la VAD et femmes de moins de 40 ans avec enfants.
La stratégie marketing est axée sur le taux de transformation, notamment via 1. l’animation commerciale et le ciblage des offres, 2. de nombreuses offres commerciales permanentes et renouvelées (utilisation répétée d système code avantage qui ouvre droit à une réduction immédiate), et 3. des offres transversales et des thématiques adaptées aux goûts de l’acheteur.
Quelques chiffres :
1 200 références proposées sur le site
CA 2005 : environ 2,5 M€, soit l’équivalent de 4 magasins ! Prévisions CA 2006 : +50%
Panier moyen de 50 € (contre 26 dans les magasins Chauss’Expo)
Depuis février 2006, commandes possibles à partir du Luxembourg et de la Belgique. Ouverture du UK d’ici la fin de l’année. Un développement européen plus large est prévu.
200 000 visiteurs en moyenne par mois
Taux de transformation : 3%
Sunday, September 24, 2006
Test Sarenza - Note globale : 8/10
J'ai testé le site Sarenza (http://www.sarenza.com) tout au long de l'été afin d'en mesurer la qualité de service et la pertinence de l'offre, car avouez que vendre des chaussures sur Internet n'est pas, a priori, quelque chose d'intuitif.
1ère commande :
Top Havaianas Noir 19 €
Montant total : 17,10€
Bon de réduction de 10% pour la fête des pères reçu par e-mail.
Commande passée le mardi 13 juin à 15h23.
15h27, réception du questionnaire FIA NET (rempli en moins de 3 minutes).
E-mail de départ de la commande reçu le mercredi vers 0h00.
Chaussures reçues le jeudi 15 juin au matin, soit moins de 48 heures après la commande !
Emballage extérieur et intérieur :excellents.
Demande de remboursement effectuée le mercredi 28 juin, soit le premier jour des soldes ! Voulant tester le service client, j’ai envoyé à 10h28 un e-mail concernant la procédure à suivre pour retourner ma paire de Havaianas. A 10h30, je reçois le traditionnel e-mail m’indiquant que ma « requête » a bien été enregistrée et à 10h33 le service client me répond en m’indiquant la démarche suivre. Les explications fournies sont claires et précises.
J’ai reçu l’étiquette Colissimo environ 5 jours après, suis allé à La Poste le 26 juillet et j’ai reçu le 3 août la confirmation de la bonne réception de mon retour. Le paiement devait intervenir dans les 15 jours maximum. Le remboursement a été effectué le vendredi 4 août. Wow !!!
Avis global : 10/10.
Seul bémol : il faut aller à La Poste ! ;-)
2e commande :
Brasil Havaianas Noir 22 €
Montant total : 22 €
Commande passée le mardi 4 juillet à 14h42.
14h47, réception du questionnaire FIA NET (rempli en moins de 3 minutes).
E-mail de départ de la commande reçu le jeudi à 0h15.
Chaussures reçues le vendredi 7 juillet au matin, soit 24 heures de plus que pour la première commande.
Emballage extérieur et intérieur :excellents.
Avis global : 9/10, du fait de la livraison avec 24 heures de plus que lors de la première commande. Mais en dehors de ce point, c’était parfait.
3e commande :
Antonius Dario Dodoni 246€
Commande passée le mercredi 26 juillet à 14h16.
14h17, réception du questionnaire FIA NET (rempli en moins de 3 minutes).
E-mail de départ de la commande reçu le jeudi 27 juillet à 16h20.
Chaussures reçues le lundi 31 juillet au matin ! Dommage, j’aurais bien aimé les recevoir le samedi.
Emballage extérieur : bon.
Boîte des chaussures : état moyen (voire très moyen).
Je dois avouer que j’ai hésité avant d’acheter les Dario Dodoni car je trouvais que le niveau d’informations qualitatives n’était pas assez développé (par exemple sur les pointures. Certaines marques « taillent » grands…) et vu le prix de la paire de chaussures, ce genre d’information est nécessaire. D’ailleurs, comme elles chaussaient trop grand j’ai été obligé de les retourner.
Avis global : 6/10 car lorsque l’on m’annonce que ma commande part le jeudi à 16h20, je l’attends à recevoir le produit au plus tard le samedi matin et j’aurais aimé avoir plus d’informations sur le produit au moment de mon achat.
J’ai renvoyé ma paire de Dario Dodoni à Sarenza le vendredi 22 septembre. Je vous tiendrai donc au courant du remboursement. J’espère qu’il sera aussi facile et rapide que pour les Havaianas.
En synthèse, je trouve que ce site est très bien conçu que le catalogue de chaussures est large et diversifié et que la qualité de service est parfaite, même s’il y a encore quelques points à améliorer. En un mot bravo !
Note globale : 8/10.
1ère commande :
Top Havaianas Noir 19 €
Montant total : 17,10€
Bon de réduction de 10% pour la fête des pères reçu par e-mail.
Commande passée le mardi 13 juin à 15h23.
15h27, réception du questionnaire FIA NET (rempli en moins de 3 minutes).
E-mail de départ de la commande reçu le mercredi vers 0h00.
Chaussures reçues le jeudi 15 juin au matin, soit moins de 48 heures après la commande !
Emballage extérieur et intérieur :excellents.
Demande de remboursement effectuée le mercredi 28 juin, soit le premier jour des soldes ! Voulant tester le service client, j’ai envoyé à 10h28 un e-mail concernant la procédure à suivre pour retourner ma paire de Havaianas. A 10h30, je reçois le traditionnel e-mail m’indiquant que ma « requête » a bien été enregistrée et à 10h33 le service client me répond en m’indiquant la démarche suivre. Les explications fournies sont claires et précises.
J’ai reçu l’étiquette Colissimo environ 5 jours après, suis allé à La Poste le 26 juillet et j’ai reçu le 3 août la confirmation de la bonne réception de mon retour. Le paiement devait intervenir dans les 15 jours maximum. Le remboursement a été effectué le vendredi 4 août. Wow !!!
Avis global : 10/10.
Seul bémol : il faut aller à La Poste ! ;-)
2e commande :
Brasil Havaianas Noir 22 €
Montant total : 22 €
Commande passée le mardi 4 juillet à 14h42.
14h47, réception du questionnaire FIA NET (rempli en moins de 3 minutes).
E-mail de départ de la commande reçu le jeudi à 0h15.
Chaussures reçues le vendredi 7 juillet au matin, soit 24 heures de plus que pour la première commande.
Emballage extérieur et intérieur :excellents.
Avis global : 9/10, du fait de la livraison avec 24 heures de plus que lors de la première commande. Mais en dehors de ce point, c’était parfait.
3e commande :
Antonius Dario Dodoni 246€
Commande passée le mercredi 26 juillet à 14h16.
14h17, réception du questionnaire FIA NET (rempli en moins de 3 minutes).
E-mail de départ de la commande reçu le jeudi 27 juillet à 16h20.
Chaussures reçues le lundi 31 juillet au matin ! Dommage, j’aurais bien aimé les recevoir le samedi.
Emballage extérieur : bon.
Boîte des chaussures : état moyen (voire très moyen).
Je dois avouer que j’ai hésité avant d’acheter les Dario Dodoni car je trouvais que le niveau d’informations qualitatives n’était pas assez développé (par exemple sur les pointures. Certaines marques « taillent » grands…) et vu le prix de la paire de chaussures, ce genre d’information est nécessaire. D’ailleurs, comme elles chaussaient trop grand j’ai été obligé de les retourner.
Avis global : 6/10 car lorsque l’on m’annonce que ma commande part le jeudi à 16h20, je l’attends à recevoir le produit au plus tard le samedi matin et j’aurais aimé avoir plus d’informations sur le produit au moment de mon achat.
J’ai renvoyé ma paire de Dario Dodoni à Sarenza le vendredi 22 septembre. Je vous tiendrai donc au courant du remboursement. J’espère qu’il sera aussi facile et rapide que pour les Havaianas.
En synthèse, je trouve que ce site est très bien conçu que le catalogue de chaussures est large et diversifié et que la qualité de service est parfaite, même s’il y a encore quelques points à améliorer. En un mot bravo !
Note globale : 8/10.
Tuesday, September 19, 2006
Sarenza
Sarenza, site de vente de chaussures sur Internet, vient de mettre en ligne sa V2. Bravo! Elle est très réussie et nettement plus aérée que la précédente version. Le choix de chaussures vendues ne cesse d'augmenter et l'on y trouve des modèles peu distribués en France, comme la marque Dario Dodoni. Le principal atout de ce site de e-commerce réside dans le fait de pouvoir essayer ses chaussures trnaquillement chez soi, avec donc plusieurs tenues, et de les retourner à Sarenza si nous ne sommes pas satisafaits! Le remboursement est rapide. J'ai effectué plusieurs tests durant l'été que je publierai demain.
Tuesday, September 05, 2006
Critique Maison de la Truffe
Voici mon avis sur le restaurant La Maison de La Truffe
Curieux de découvrir enfin ce met réputé fin et délicat qu'est la truffe, ma femme et moi, sommes allés dîner à La Maison de la Truffe, place de la Madeleine à Paris. Nous avions consulté le menu sur leur site et vu les photos du restaurant. Nous n'avons donc pas été surpris en entrant de trouver un décor type petite brasserie de quartier. En revanche, nous avons été surpris de constater que le service était également type brasserie de quartier : anonyme, froid et sans aucune finesse. Ainsi, la bouteille de vin est rapidement ouverte derrière le comptoir et déposée sur votre table en passant. A vous de vous servir et de goûter le vin.
Passons aux plats : l'entrée (oeufs brouillés à la truffe) était bonne, mais sans plus et le plat (tagliatelles à la truffe) quelconque. Ma femme qui avait pris de la viande en plat a demandé à changer car cela n'avait aucun goût. Pour le coup, je dois admettre qu'ils lui ont changé son plat, sans protester.
En synthèse, ce dîner qui devait nous faire découvrir la truffe a été décevant et onéreux : un peu moins de 100 € par personne sans apéritif et avec une demie bouteille de vin! La prochaine fois, nous nous ferons nos oeufs brouillés à la truffe nous-mêmes et croyez-moi nous n'irons pas acheter les truffes à La Maison de La Truffe.
Curieux de découvrir enfin ce met réputé fin et délicat qu'est la truffe, ma femme et moi, sommes allés dîner à La Maison de la Truffe, place de la Madeleine à Paris. Nous avions consulté le menu sur leur site et vu les photos du restaurant. Nous n'avons donc pas été surpris en entrant de trouver un décor type petite brasserie de quartier. En revanche, nous avons été surpris de constater que le service était également type brasserie de quartier : anonyme, froid et sans aucune finesse. Ainsi, la bouteille de vin est rapidement ouverte derrière le comptoir et déposée sur votre table en passant. A vous de vous servir et de goûter le vin.
Passons aux plats : l'entrée (oeufs brouillés à la truffe) était bonne, mais sans plus et le plat (tagliatelles à la truffe) quelconque. Ma femme qui avait pris de la viande en plat a demandé à changer car cela n'avait aucun goût. Pour le coup, je dois admettre qu'ils lui ont changé son plat, sans protester.
En synthèse, ce dîner qui devait nous faire découvrir la truffe a été décevant et onéreux : un peu moins de 100 € par personne sans apéritif et avec une demie bouteille de vin! La prochaine fois, nous nous ferons nos oeufs brouillés à la truffe nous-mêmes et croyez-moi nous n'irons pas acheter les truffes à La Maison de La Truffe.
Thursday, June 29, 2006
Premier véritable message
J'ai décidé d'être plus actif sur mon blog. Pour quelle raison, au fait? Que m'apporte ce blog? D'une manière plus générale qu'apportent les blogs, pourquoi autant de blogs?
Pour moi, ce qu'on lit sur les blogs se rapproche de la discussion de comptoir, dans le pire des cas, et du journal intime dans le meilleur des cas.
La discussion de comptoir est le fait de gens qui pensent avoir quelque chose à dire, qui sont convaincus d'avoir une pensée (certains oseraient même dire une réflexion) profonde sur le mode de fonctionnement de notre société. Mais ils ne pensent que des banalités, voire des insanités! C'est d'autant plus pitoyables que certains de ces penseurs du dimanche soir ont, par ailleurs, d'excellents postes.
Dans le meilleur des cas, le blog s'apparente à un journal intime, en fait au journal intime du XXIe siècle, en ce sens qu'il est intime car le blogger parle de lui ou d'elle de manière très personnelle, mais en même temps, et c'est là la nouveauté, il est mis à la disposition de tous. Ceci correspond bien à notre société qui est obligé" de tout montrer, qui est obsédé par la transparence. J’en veux pour preuve le succès de la télé-réalité et de ses avatars, les émissions de Jean-Luc Delarue dans lesquelles notre voisin de palier vient étaler ses vices, ses difficultés et ses états d'âmes. D'ailleurs, j'attends avec impatience le soir ù je reconnaîtrais mon voisin de palier ou pire un responsable de la société dans laquelle je travaille.Alors, aussi étrange que cela puisse paraître, car c'est étrange, j'ai décidé moi aussi de m'intégrer dans cette société de l'échange pauvre, de l'exhibitionnisme et du voyeurisme en créant mon blog. Pour être franc, transparent devrais-je dire, je ne sais pas exactement ce que je vais écrire sur ce blog, mais je trouverais.
Pour moi, ce qu'on lit sur les blogs se rapproche de la discussion de comptoir, dans le pire des cas, et du journal intime dans le meilleur des cas.
La discussion de comptoir est le fait de gens qui pensent avoir quelque chose à dire, qui sont convaincus d'avoir une pensée (certains oseraient même dire une réflexion) profonde sur le mode de fonctionnement de notre société. Mais ils ne pensent que des banalités, voire des insanités! C'est d'autant plus pitoyables que certains de ces penseurs du dimanche soir ont, par ailleurs, d'excellents postes.
Dans le meilleur des cas, le blog s'apparente à un journal intime, en fait au journal intime du XXIe siècle, en ce sens qu'il est intime car le blogger parle de lui ou d'elle de manière très personnelle, mais en même temps, et c'est là la nouveauté, il est mis à la disposition de tous. Ceci correspond bien à notre société qui est obligé" de tout montrer, qui est obsédé par la transparence. J’en veux pour preuve le succès de la télé-réalité et de ses avatars, les émissions de Jean-Luc Delarue dans lesquelles notre voisin de palier vient étaler ses vices, ses difficultés et ses états d'âmes. D'ailleurs, j'attends avec impatience le soir ù je reconnaîtrais mon voisin de palier ou pire un responsable de la société dans laquelle je travaille.Alors, aussi étrange que cela puisse paraître, car c'est étrange, j'ai décidé moi aussi de m'intégrer dans cette société de l'échange pauvre, de l'exhibitionnisme et du voyeurisme en créant mon blog. Pour être franc, transparent devrais-je dire, je ne sais pas exactement ce que je vais écrire sur ce blog, mais je trouverais.
Wednesday, May 17, 2006
Subscribe to:
Posts (Atom)